23 janv. 2009

[Mode hystérie ON]

Whaaa j'ai eu mon semestre!!! (même le droit constitutionnel, les Relations internationales et les Organisations européennes-pourtant ça semblait très compromis au départ; j'ai peur qu'on m'annonce une erreur) Je crois que j'ai une bonne étoile en Titane, faudra que je file une pièce au Mec qui chante près du Polygone depuis au moins la chute de l'URSS pour ça tiens.

[/Mode Hystérie OFF]

En bonne chouineuse, j'en ai pleuré avant et après (le mouchoir est ton ami). Avant pour éviter un flot lacrymal trop important quand viendrait le "après", ô combien incertain. Je préfère prévoir pour ce genre de choses, au moins pour éviter de noyer la fac toute entière.

En règle générale, j'ai le pleur facile (je viens de constater). Pas que pour les exam's ces temps-ci d'ailleurs. Le secteur 7ème art est super touché lui-aussi. Suffit que je voie un film pour que j'éclate en larmes devant l'écran. Walt Disney détient probablement le record avec Rox & Rouky; ce n'est qu'à l'âge de 12 ans que j'ai pu passer les 5 premières minutes du film (quand la maman renard, elle.. enfin bref). Et puis il y en a d'autres, genre le secret des poignards volants, Hero(pas JaeJoong, le film), et j'en passe.

Et puis il y a cette musique, que depuis que j'ai associée au drama me provoque un réflexe lacrymal instantané (pire que les l'instantanéité des ramen, c'est pour dire)...

... Ce qui est d'autant plus curieux que je ne suis absolument pas déprimée en ce moment. Non, je crois que c'est ce côté humain récessif en moi qui s'éveille (oui, je passe pour une sauvageonne à la fac parce que je ne me déplace pas en troupeau).

Tiens, ça me rappelle les joyeuses colonies de vacances! Je suis sûre que tu vois ce dont je parle: l'heure des adieux. Tous ceux que tu ne pouvais pas encadrer se précipitent dans tes bras, se mouchent dans ton T-Shirt et lèvent vers toi un visage embué de larmes et larmoyant, s'écrient: "Tu es ma meilleure amie, je ne t'oublierai jamais!"

Et toi tu restes planté là, partagé entre l'idée de lui hurler "Mais tu m'as emmerdé pendant deux semaines, lâches-moi!" et de le(la) consoler un peu parce qu'il(elle) détruit ton T-Shirt à le tirer comme ça. Mais pas une larme. Que dalle. Tu passes pour la sans-coeur de service mais en même temps tu ne pourrais pas pleurer, même avec un kilo d'oignons sous le pif. Ce phénomène est reproduisible avec les fins d'année de collège/lycée/autre.

Bon, je sais que je pourrai dégoter autre chose, mais je n'ai qu'un truc kawaï qui accompagne cet article.

1 commentaire:

Arnø a dit…

Félicitations pour ton semestre \o/

Le mec qui chante près du Polygone il est pas assis sur son tabouret avec sa guitare ? Parce que j'ai le souvenir d'un mec comme ça.