24 mai 2009

Echec et mat [Spice di counasse d'exam']




























Je viens de me rendre compte que sur les 180 points (mini) à totaliser pour mériter mon semestre, il ne me manquait que 7,5 points.
Ca fout les boules et j'ai 6 matières à repasser (première fois de ma vie, fais pêter le champagne).

Non, en fait ça m'apprendra.

Merci à l'administration qui a "oublié" de rajouter la décimale devant ma note de CM d'écopo (parce que je me disais bien que je ne pouvais pas avoir 1,5/20 après 3 ans de SES).
Vraiment je les adore.

...

Le plus drôle, c'est que pour mon horoscope il y avait de marqué dans la case Travail : "Le pire que vous puissiez faire en ce moment, c'est de perdre votre calme";
sans compter le manga que j'avais emporté (pour patienter, vois-tu) et dans lequel (si on en croyait le résumé) Yuki et Kyô ont réussi à passer en deuxième année (toi aussi, retrouves le titre-une carotte en séquoia pour le gagnant).

Mais vive le moral avant tout, hein :)

16 mai 2009

The Panda

Gamine (enfin avant, quoi), j'ai eu plein d'animaux de compagnie. Tu remarqueras l'emploi du passé composé car, au moment où j'écris ces lignes, lesdits bestiaux ont tous une place effective au paradis animalier.
Bref.

Bestiau prem's:

Quand je mangeais encore des petits pots Blédina (préparé avec amour par les blédi-usines Danone), je me rappelle la présence d'oiseaux à la maison, type moineau ou un truc du genre. Enfin, ça faisait piou-piou, c'est ça dont il faut se rappeler. Je me souviens encore plus de leur remake de La Grande Evasion, le jour où ma mère leur donnait à manger. Ces piafs ingrats se sont tirés par la porte de leur cage ouverte, et comme la fenêtre du salon était aussi ouverte... on ne les a jamais revu, mais j'attribue à ces emplumés mon actuelle névrose relative à mon amour pour les canards et les pigeons. En clair, c'est leur faute.

Bestiau 2: Rodolphe

Après, je crois qu'on a eu des poissons. Leur nombre variait constamment, enfin surtout à la baisse (chose inexpliquée à l'époque, même la technologie la plus avancée ne pouvait rien contre ces mystérieuses disparitions). On pensait à des piranhas frappés de coups de chaleur (ils en avaient déjà la sale gueule), d'un poisso-kidnappeur mais toutes ces brillantes hypothèses n'ont jamais pu être démontrées.
Ce mystère prit fin deux ans plus tard (et, incroyable, on avait encore des poissons en vie), lors de notre déménagement (je vivais à Chartres à ce moment-là, mais tout le monde s'en fout). En déplaçant une étagère, une odeur âcre se répandit dans la place (et tant pis pour le prochain locataire). En fait, on avait descellé la tombe du roi des poiscailles, premier du nom à avoir tenté Le grand bleu, mais dans l'autre sens. Alors, tel un épisode digne de Cold Case (mais version Cousteau), on avait retracé toute l'histoire du roi des poissons: Rodolphe Ier (nom donné post-mortem, tu t'en doutes), poisson acheté à Jardiland et qui oublié de tous, a fini par crever derrrière l'étagère après avoir vainement tenté de faire demi-tour.
Depuis, on n'a plus jamais eu de poisson. Sauf entouré de patates ou en Croustibat passé au micro-ondes, mais ça compte pas ça.

Bestiau 3: Stanislas, lapin prisonnier n°6 (aka the free rabbit which is not a number)

Après les bestiaux à plumes et à branchies, ce fut le tour des poilus avec le lapin. Je suis totalement incapable de me souvenir de son nom, alors appelons-le Stanislas. Stanislas était un brave lapin avec plein de qualités, mais un défaut énorme qui causa sa (présumée) perte: Stanislas était en effet fugueur récidiviste (à croire que les âmes des piafs et du poiscaille s'étaient réunies en un seul corps léporidesque).
Bon, du temps où il restait dans l'appartement, ça gênait pas trop. Quoique: on a été obligés de remédier à son problème le jour où, après une énième évasion, il avait dévoré le fil du téléphone. Ce bestiau était suicidaire en plus. On avait donc pris des mesures importantes, renforcé la sécurité, bloqué l'entrée de sa cage avec du fil de fer (pas barbelé, on n'est pas des sauvages non plus) et un Larousse. Mais Stanislas était vachement moins con que ses geôliers car il parvenait tout de même à s'échapper. On n'a jamais compris comment il faisait mais on a pendant longtemps soupçonné un lien avec les services secrets lapesques (d'une côté, il avait une couleur pie noir, genre camouflage).
Et puis un jour, alors qu'on était en vacances dans un camping des Charentes-maritime, Stanislas mis en oeuvre sa dernière opération anti-carcérale. On ne le revit plus jamais. Les esprits les plus éclairés supposent qu'il a fini en civet de lapin pour renard/chasseur/autre, d'autres prétendent qu'il fut recueilli par une gentille famille vivant dans la prairie. Certaines personnes ultra-optimistes brandissent l'hypothèse d'un lapin vivant avec un faon, terré dans un terrier et continuellement en retard, d'un lapin hypocondriaque grignotant une carotte sous les yeux d'un canard méprisable ou d'un lapin crétin possédant son propre jeu vidéo. A moins que, sa mission dans le monde des hommes terminée, il ne soit tout simplement que rentré à la base afin d'y faire son rapport.
Le mystère en est toujours un.

Bestiau 4: Jimmy le chat

Jimmy (nom fictif trouvé deux minutes auparavant l'écriture de ce paragraphe) le chat était un chat (yeah!) tigré au pelage roux. Un machin orange comme dans Harry Potter, mais en plus joli. Jimmy est arrivé sans prévenir dans notre vie mais on s'en fout. Jimmy était légèrement débile mais on l'aimait bien. Enfin, on aimait surtout lui passer en boucle la cassette des Aristochats (tu sais, il y a un passage où les chatons miaulent) pour le voir s'affairer autour du magnétophone (oui, on avait toutes les aventures Disney sur cassette audio (oui, c'était aussi l'âge de Pierre)). Je suis intimement persuadée que ma soeur et moi sommes à l'origine de toutes les recherches actuelles sur la psychologie et l'étude comportementale animale (si tu as un chat, loues les Aristochats en DVD (ou VHS, j'oblige à rien) et amuse-toi).
Lui a eu une fin plutôt heureuse (enfin je suppose), puisque, incapable de piger l'utilité de la litière, ma mère dut le donner à je-ne-sais-qui et on entendit plus jamais parler de lui. Peut-être même qu'il est encore vivant en ce moment et dors chez toi sur le radiateur, va savoir.

Je passerai sous silence les élevages d'insectes en tous genres avant que ma réputation ne soit définitivement ruinée. Eux ne sont pas morts mais ont eu la liberté rendue, preuve que ma modeste personne peut se montrer magnanime (mais faut pas abuser non plus). Hum, seulement magnanime avec les trucs à antennes présent dans la catégorie "écrasage", ça cache sûrement quelque chose.

Bestiau 5: Les aspirateurs sur patte (les cochons d'inde, quoi).

Ah ça, c'est peut-être un des trucs les plus sympas qu'on ait jamais eu dans notre belle famille. Bon, on en a eu plein donc je ne vais pas te les décrire tous, mais seulement le mien, perso. Spirou (nom authentique cette fois), cobaye noir et blanc (comme Rodolphe, quoi) au regard crétin (je pense, sans mentir, que c'était alors l'animal le plus stupide de la planète) mais affreusement craquant avait trois obsessions dans la vie (plus une mais là on risque de sombrer dans le politiquement incorrect, or ce blog est avant tout un espace de sérénité et de savoir-vivre): dormir, manger, recevoir des câlins. A part ça, Spirou ne foutait pas grand chose d'autre, si ce n'est que c'était aussi un fugueur multi-récidiviste (mais en plus con) comme les piafs, Rodolphe et Stanislas (décidemment!).
Spirou finit par mourir d'une maladie inconnue qu'on ne connaît toujours pas.

Bestiau 6: Les broyeurs automatiques

Les broyeurs automatiques, c'était Tronçonneur et NoufNouf. Enfin, c'était Tronçonneur et c'est toujours NoufNouf.
Tronçonneur (aka l'Abominable), c'était le rat de mon frangin mais, qu'on se le dise, c'était moi qui lui avait trouvé le nom (parce qu'au départ, il devait s'appeler Daxter mais Tronçonneur, ça roxe plus comme petit nom). Tronçonneur était vachement sympa et un brin évolué (c'est-à-dire qu'il ne se jetait pas sur la bouffe comme un malotru (malgré un embonpoint plus que visible) venait quand on l'appelait). Le détail le frappant chez lui était que, lorsqu'il mangeait, son oeil gauche sortait de la tête (le tout accompagné d'un strabisme divergent; c'était tellement marrant à voir qu'on le gavait exprès (ce qui explique son embonpoint)). Lui nous as quitté au mois de Janvier dernier. L'auteur en a été longtemps triste (mais ça va mieux maintenant).
NoufNouf est le rat de ma frangine et mérite bien sa dénomination de broyeur automatique puisqu'il avale tout ce qui passe à portée de ses quenottes: nourritures diverses mais aussi savon, chewing-gum, cire à bougie et autres. Et le plus ironique dans l'histoire, c'est que lui est toujours vivant.

Bestiau 7: le meilleur ami de l'homme

Nan, c'est pas le chien, et ce pour la simple mais néanmoins bonne raison que les chiens me foutent la trouille. C'est pas phobique mais pas loin: disons que je préfère changer de trottoir quand j'en vois un dans la rue.
Face à tous ces drames zoologiques dignes d'un document de l'été sur France 5, j'ai décidé de mettre fin à tout cela en adoptant un compromis (et tout le monde devrait faire pareil): acheter un bestiau oui, mais en peluche.

C'est ainsi que le Panda (made in China, comme c'est drôle) est passé de la Grande Récré (ici, on a ses magasins fétiches) à l'Ilôt (après un arrêt par Narbonne où il a fallu batailler ferme avec la frangine qui ne voulait pas le voir parrtir). Le Panda présente plein d'avantages: outre le fait qu'il ne fait pas chier son monde, il ne coûte pas un kopec à l'entretien, est discret (sonoriquement parlant) et fait croire à tout le monde que tu es un écolo convaincu militant pour la WWF.
Mais surtout, le panda tire la langue et est kawaï en toutes circonstances. C'est bien entendu le point le plus important à souligner, tu t'en doutes.
En clair, un panda en p'luch', c'est bien.^^

Quoi qu'il en soit, n'oublies pas que je suis ton père qu'un animal est une chose animée au regard du législateur (voire un immeuble dans certains cas, mais on ne va pas démarrer un cours de droit des biens maintenant).

11 mai 2009

Projection mentale futuristique

Dans 10 ans, je ne serai ni arracheuse de dents, ni garagiste, ni caissière à Mammouth. Je préfère commencer par ce que je ne serai pas même si mes études foirent, que la crise s'intensifie et qu'un astéroïde géant a percuté la terre 7 ans auparavant.

Enfin bref.

Dans 10 ans, j'aurai 28 ans. C'est-à-dire que...

... Dans 10 ans, j'aurai probablement terminé mes études. Je dis probablement, car je suis certaine qu'il n'est pas impossible de redoubler chaque année de son Master 2. Mais disons que je n'ai pas trop redoublé, que je me suis mise à bosser (mes résultats du 2nd semestre sont vendredi, va falloir assumer) et que mes correcteurs ont accepté la jolie liasse de billets européens rose (parce que moi aussi, je peux faire comme les chinois non mais^^) offerte par mes petites mains tremblantes.

Donc j'aurai terminé mes études de droit (je dis de Droit parce que je ne vois pas d'autres possibilités de carrière). Je n'aurai plus d'amis sauf peut-être des avocats, des juges et des notaires; pas d'autres amis puisque cynisme aidant, ils m'auront tous repoussé avec des bergers allemands drogués au Haschisch. Je serai donc certainement dans un bâtiment à pilliers ou avec plein d'étages, et je discuterai avec mes nouveaux amis de la dernière loi relative à la condition juridique de la Pomme de Terre paru dans le dernier JO (rien à voir avec le sport, ce truc à même tendance à endormir). Je porterai un tailleur ou un uniforme (youhou, le fétichisme !) parce que depuis toute petite je veux être en uniforme (va savoir pourquoi) et je n'exigerai de mes collègues aucun machisme de leur part. Nous parlerons loi, décrets, salaire et position sociale et ce sera passionnant. Nous serons tous des imbéciles omnibulés par le fric, la villa en Côte d'Azur et le prochain congrès de l'Union Européenne (Union qui, soit-dit en passant, aura débordé jusqu'au Cambodge et en Tanzanie. Logique). Nous parlerons le franlatin, nous prendrons pour des dieux tout-puissants et ce sera beau. Nan, je déconne sur la dernière partie de la phrase précédente.
Par contre, inutile de me demander quel métier j'exercerai précisément, j'en sais que dalle. Un métier où on se fait beaucoup de fric sur le dos des autres, avec les fesses au chaud devant un PC (puisque je suis d'idéal aventurière et que tu le sens).

Je ne serai pas mariée, d'une part parce que l'âge moyen au mariage aura encore reculé et je serai donc toujours comprise dans la norme, d'une seconde part parce que le mariage me gonfle (surtout quand tu réalise que ce n'est "qu'un contrat juridique instituant une communauté de vie"*) et qu'enfin faut trouver l'autre partie contractante (han! J'adore parler avec ces termes dénués d'humanité!), ce qui n'est pas donné à n'importe qui; et, par extension, surtout pas à moi. Et puis je n'ai jamais pu m'imaginer avec une quelconque seconde partie de mon être alors je ne vois pas pourquoi ça changerait.
Je serai donc toute seule, et mon lit sera un une-place. Na.

J'aurai peut-être un animal. J'ai bien dit peut-être. Genre un petit lapinou-tout-mignou ou un rat noir et blanc que j'appellerai Eugène ou Pierre-Eustache. Pas de chat parce que je n'aime pas les chats, pas de chien parce qu'ils me foutent une trouille bleue.

Pour les enfants (note que j'ai parlé de Eugène/Pierre-Eustache avant les enfants), ça semble vachement compromis puisque qu'il me faut un co-contractant, comme précité plus haut. Bon, y'a les donneurs anonymes mais j'ai peur quant à l'avenir esthétique du bébé même si la mère rétablira logiquement l'équilibre. Je suis quelqu'un de bien, ne l'oublions pas; et je ne veux pas que mon futur gosse souffre de brimades à l'école à cause de la sale gueule de son père.
Et puis la grossesse, j'aime pas. Faut s'arrêter de travailler, donc de cotiser et après la retraite te passe sous le nez. Et puis si on n'a pas prévu le coup financièrement, faut se retrouver dépendante d'un co-contractant en devenir et ça me fait peur (oui, honnêtment). En plus, pendant qu'on fait un bébé, on est plus ou moins inutile et sans boulot. Après l'acouchement, faut rester auprès de lui parce que si on l'a fait, c'est qu'on a voulu de lui; donc inutile de surcharger les crèches comme ça (j'ai encore quelques principes, comme tu peux le voir). Et puis je dors assez mal la nuit comme ça, ce n'est pas pour qu'un braillard me les écourte en plus.
Reste l'adoption, la voie royale. Toute l'astuce est de le prendre entre deux eaux, c'est-à-dire post-braillements et pré-puberté. 7-8 ans est un âge qui me paraît bien. Je les prendrai en importation d'Asie du Sud-Est, parce qu'il y en a trop là-bas et pas assez en France. Ce sera une bonne action, et à supposer que Dieu existe et le paradis aussi (sinon ça vaut pas le coup, c'est quand même un sacré chantage la religion), ça m'aidera à faire pencher correctement la balance vers le jardin céleste (puisque quand on fait du droit, on est un peu méchant(e) sur les bords dès le départ, faut le reconnaître). Je rendrai donc heureux un môme qui ne braillera ni ne me réclamamera des thunes pour aller en boîte le vendredi, mon karma sera sauvé et tout le monde sera content.
J'aurai donc des enfants adoptés de pays bridés qui s'appelleront Mayu, Shun ou Yûki (si c'est un garçon) ou JiMin, Xiao ou Hanaé (si c'est une fille). Le nom de famille sera Kim, parce que c'est le patronyme le plus mimi que j'ai jamais rencontré dans ma courte vie. Même si le pauvre mioche sera forcé de prendre le mien: qu'on appelle les services sociaux, on a maltraité un enfant.

Maintenant, le mode de vie. Je serai toujours accrochée à mon PC, ma musique tue-neurones et mes réflexions débiles. Ce serait bien si je pouvais conserver ça, ouais. Je serai toujours une grosse merde en cuisine, ce qui supposerai 1/que je continue mon régime pâtivore, 2/que j'embauche un homme à tout faire (ce qui n'est pas le pire des compromis quand on y réfléchit).Ma famille m'aimera toujours malgré tout et je serai plutôt heureuse. J'aurai quitté le Languedoc pour le Rhône-Alpes (ou un endroit du genre) après mes études afin de me permettre de véritables opportunités professionnelles et un bon avenir. Dans 10 ans, j'espère continuer à pouvoir me lever chaque matin la face en vrac, passer la moitié de la matinée assise sur mon lit à regarder le plafond et me demander comment feraient les inuits en cas d'attaque nucléaire puisqu'ils n'ont pas de frigo ou toute autre interrogation essentielle de ce genre.

Physiquement, je serai toujours petite et je continuerai d'exploiter la situation à mon avantage (car oui, la pygmycité permet de prendre le tram gratos). Je ferai toujours ma teinture aux cheveux, je ne saurai toujours pas comment m'habiller et je ne me maquillerai pas non plus. Je me ferai peut-être cette opération corrigeant ma myopie, ce qui m'évitera de devoir prendre des RDVs continuels chez l'ophtalmo, l'opticien, le ... J'aurai une peau blanchâtre et je ne supporterai pas le soleil et la plage. En fait, je serai pareille que maintenant mais en plus vieille (même si 28 ans ne me semble pas être un âge où les gens se décrépitent).

Psychologiquement, j'aurai logiquement terminé ma crise d'adolescence en retard et je serai donc entrée dans l'âge adulte au sens propre du terme. Mais comme ça semble héréditaire dans ma famille, j'aurai de temps à autre des poussées de gaminerie qui viendront ternir ma réputation jusque là si bien entretenue. Alors, à ce moment-là, je perdrai tous mes amis avocats et associés et je me retrouverai rétrogradée au nettoyage des chiottes du 6ème étage. Mais ne soyons pas pessimistes.

Pour résumer, je serai une grosse exploiteuse de première aigrie, célibataire et avec enfants, pas pareille mais presque (ça aide à comprendre, n'est-il pas?).


Ou alors, je deviens maître du monde, MOUHAHAHAHA !!!!!

* Même qu'à l'origine, le mariage a été institué pour protéger la future mère des aléas de la vie. Mais comme je ne veux pas d'enfants, le problème est réglé. Je ne me marierai pas, na.

Mais si j'en crois le wiki, le futur est l’ensemble des configurations possibles d'un système qui n'ont pas eu lieu. Pas de quoi s'inquiéter donc (ou si, peut-être).