16 sept. 2008

Le mot du mardi

J'adore le mardi. Jour de la semaine où l'on sait que le lendemain, on le passera à faire la grasse matinée. Enfin pas demain, parce que j'ai un boulot monstre (les profs parlent trop, je l'ai toujours pensé) et que je dois aller à la chasse. Celle à la dame de ménage (appelée au vu des circonstances actuelles La femme invisible), parce que je dois toujours faire mon état des lieux. Je sais, j'aurais dû le faire il y a déjà deux semaines. Mais de toute la population hétéroclite que j'ai croisé jusqu'à maintenant (dont les derniers cuisaient des têtes de poissons dans l'huile, mystère), la femme de ménage n'apparaît PAS. Alors demain j'armerai mon fusil paralysant (au cas où un de ces specimens très recherchés se montrerai avant de disparaître subrepticement) et je placarderai des affiches Wanted, comme dans les Western de Sergio Leone.

Aujourd'hui, c'est velouté de tomate aux vermicelles (en dîner, ne va pas t'imaginer la soupe sur les affiches, hein!) . Au vu de mes derniers exploits culinaires, je me cantonne désormais à des choses simples, faciles d'accès et prêts en 5 minutes montre en main. La faute à mon humble personne qui a enfumé tout le troisième étage hier en voulant faire cuire ses saucisses de Strasbourg Petit Casino. Quand j'y repense, c'est vraiment étonnant que personne n'ai appelé les pompiers avec l'odeur de brûlé qui s'est incrusté partout. J'aurais fait la Une du journal aujourd'hui. Les gens sont non seulement mesquins mais en plus jaloux de mon génie.

Sinon j'ai encore acheté un bouquin hier (Droit Constitutionnel, Théorie Générale de Michel Clapié pour le cours de Michel Clapié (comme ça tu as le nom d'un de mes profs)). Ce bouquin est chiant à mourir, tout comme le cours d'ailleurs. Quand les deux sont faits par la même personne en même temps, tu ne peux pas y couper et simuler une profonde concentration pour en fait plonger dans un coma des plus profonds.

Sinon je me pose toujours la question de savoir ce que je vais faire de mon avenir. Quand on me parle de mon avenir, je vois une femme sans visage (moi) en tailleur noir, coupe professionnelle. Je ne vois pas la toge d'avocat. Un avocat de 1m57, on en rigole et c'est tout. Alors qu'est-ce que je veux faire? Pour te sortir une réponse supra originale, ce sera un boulot intéressant, super bien payé et le cul derrière un bureau. Mais ce ne sera pas fonctionnaire. Toute proposition est la bienvenue.

Ce soir, je me regarde un épisode de Zorro. Yeahh

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Hé, c'est pas tout el monde qui fait la grasse matinée le mercredi ! ><

Et puis tu sais, avec mon mètre 58 je vais peut-être tenter avocat, faut pas craindre ^^ Sinon puisque t'es en droit tu n'as qu'à faire juge d'instruction, c'est intéressant, ça se passe le cul derrière un bureau, mais en revanche pour le salaire je crois que c'est une autre histoire...